Coiffures Louis XVI femmes – généralités

Pour une meilleur compréhension des formes de Coiffures Femmes se reporté au chapitre description.

1) Les Coiffures Cheveux influencées par la Reine Marie Antoinette se caractérise par deux tendances, mais dans les deux cas Rose Bertin la modiste de la Reine a une énorme influence.

2) Les créations de Rose Bertin se conformaient à une forte analogie théâtrale.

3) En 1782, (…selon l’éloge des coiffeurs adressé aux dames on a dénombré plus de 3744 façons de se faire coiffé).

4) Dictionnaire : Coiffure : orner, parer, couvrir la tête, ou arrangement des cheveux.

5) Il y a une grande confusion, un grand enchevêtrement pour la classification entre les Coiffures Chapeaux et les Coiffures Cheveux.

6) Vu la très grande diversité des coiffures, chaque jour une nouvelle coiffure apparaît, différente de la veille, est-il possible que ces très grandes diversités se réalisent par le coiffeur sur la chevelure ?

7) L’étude des documents historiques nous montre des Coiffures Cheveux de différentes formes, mais souvent ces formes différentes se répètent, ou varie que dans les détails.

8) On compte une trentaine de formes de base, nombre réduit par rapport aux (3744 façons de se faire coiffer).

9) Par contre la modiste a le pouvoir de créer tous les jours une Coiffure Chapeau différente, c’est donc bien la modiste qui diversifie à l’infinie la dénomination des Coiffures.

10) Marie Antoinette a son coiffeur officiel qui est Larseneur, mais son coiffeur favori est Léonard.

11) Texte, ( chaque jour Larseneur vient solennellement s’acquitter de son office mais Marie Antoinette n’aime pas la façon dont il coiffe, elle ne lui dit pas, elle ne veut pas le congédier, elle le laisse terminer son pompeux travail seulement voici ce qu’elle a imaginée.
Lorsque Larseneur ayant parachever son œuvre ambitieuse, s’est enfin retiré après les révérences d’usage une demoiselle d’honneur introduit a la dérobée Léonard, et Léonard recommence la coiffure et l’accommode selon son goût.).

12) Léonard est l’inventeur de la coiffure a la Dauphine ou les cheveux sont relevés et bouclés sur le cou, ainsi que la coiffure a la Monte au Ciel, en Pyramide, et surtout a la Loge d’Opéra, coiffure d’apparat qui a 72 pieds de haut ou sur la gauche jaillissent trois grandes plumes d’autruche réunies a leurs bases dans un nœud de rubans rose que ferme un gros rubis.

13) Il a aussi créer la coiffure a la Ques a cco en 1774 qui fut l’une des premières grandes coiffures, la coiffure en Pouf qui est un chef d’œuvre de profusion d’objets ou l’on trouve de tout, des colliers, des bijoux, des rubans, des plumes, des papillons, des oiseaux, des fruits, des légumes, etc., et jusqu’à des amours en cartons peints.

14) La Duchesse de Chartres s’est montré à l’opéra coiffée d’un Pouf à Sentiments, il y avait sur cette coiffure chapeau, ( le portrait du duc de Beaujolais représenté dans les bras de sa nourrice, les chiffres des ducs d’Orléans, de Chartres et de Penthièvre dessinés avec des cheveux, un perroquet becquetant une cerise et enfin un petit nègre).

15) Ainsi la coiffure devenait une combinaison d’allégories et une sorte de blason vivant, elle devenait un langage galant qui permettait des suggestions, des métaphores.

16) Au début du règne de Louis XVI la coiffure est au Temps Présent avec des épis et des cornes d’abondance mêlait de perles.

17) Marie Antoinette adorait les belles plumes aussi, (.à Versailles un immense nuage de plumes neigeuses ou colorées flottait sur les têtes mais celles de la reine dominaient toutes les autres.).

18) Les tantes du Roi appelaient les plumes (..des Ornements de chevaux).

19) Comme pour toutes les époques les coiffures sont différentes suivant le moment de la journée, exemple,la coiffure de la femme en négligé dans son intérieur, la coiffure pour la ville, la coiffure pour une réception ou la coiffure dans le grand ajustement paré des fêtes de la cour, seront toutes différentes les unes des autres.

20) Règle générale pour cette époque, en dehors de la coiffure de réception ou des fêtes de la cour, la coiffure d’intérieur, de tous les jours est de forme différente, mais elle est toujours volumineuse, elle est moins rigide plus vivante avec de la hauteur et aussi de la largeur.

21) L’ensemble de la chevelure, sommet, cotés, arrière de tête, nuque est en grosses boucles bien formées, mousseuses avec sur la partie frontale une petite raie de milieu.
Les oreilles sont cachées, sur la nuque les cheveux tombent sur les épaules plus ou moins bouclés ou en dragonnes, l’ensemble forme une grosse masse volumineuse.

22) La chevelure est très souvent ceinte d’un foulard noué dans la nuque. La poudre est appliquée avec modération.

La Coiffure Cheveux 1er tendance, de 1774 a 1780

23) Au début du règne la mode de la coiffure de réception, de fêtes, de cour est à la coiffure haute.

24) A partir de 1776, la mode est vraiment aux coiffures très hautes et imposantes, aucune tête humaine n’est en mesure de se coiffer a la mode avec ses propres cheveux il faut recourir a l’adjonction de perruques, de postiches, de mèches, et de boucles fausses de tous volumes.

25) L’usage de la Collure est courant, le Tapé est volumineux, (voir accommodage).

26) La partie frontale est très souvent coiffée en arrière, les cheveux montent très haut verticalement, soit lisses, soit vagués, ils sont relevés sur le Tapé.

27) Sans bonnet on appelait cette partie la Physionomie élevée, ce qui veut dire (visage élevé), c’était la coiffure la plus apprêtée.

28) Le coté au dessus de l’oreille remonte vers le sommet de la tête en la dégageant, les cheveux sont lisses ou quelques fois vagués souplement.

29) Derrière cette bande de longs rouleaux enroulés en remontant appelés Boucles Marteaux, elles sont très souvent inclinées en biais, dans le sens montant vers le sommet de la tête.

30) Elles peuvent être en nombre variables les unes aux dessus des autres, elles peuvent commencer rapidement après la bordure d’implantation ou à quelques centimètres de celle-ci.

31) Elles peuvent être de différents diamètres, de petits à très gros, roulées soit en montant a l’extérieur ce qui se voit le plus souvent, soit roulé en descendant à l’intérieur.

32) Le sommet et l’arrière de la tête sont volumineux.

33) Dans la nuque on peut voir des tresses, des catogans, des torsades, des boucles marteaux, des dragonnes, des cheveux tombants plus ou moins bouclés, une grande variété de forme, de nombre, de position, de volume.

34) Certaines fois on peut voir sur les cotés de la nuque des Marteaux Flottants, ce sont des Boucles Marteaux non attachées, n’étant pas fixé lorsque la femme se déplace elles bougent, elles flottent, et dans la partie centrale un catogan.

35) Le catogan femme est différent de celui de l’homme en emplacement et en volume.

36) Le catogan femme est une bande de cheveux large et lisse qui part du vertex est descend jusqu’au bas de la nuque ou remonte du bas de la nuque jusqu’au sommet de la tête.

37) Dans chaque version la partie basse touche souvent le haut du dos et, ( la grosse mèche catogan doit laisser passer le jour a travers).

38) On peut le voir aussi dans la forme d’une grosse tresse remontante et les pointes sont attachées au sommet de la tête. Sur le point d’attache se place des fois un nœud de tissu large et imposant que l’on nomme Papillon (…qui s’étalait comme deux ailes au sommet de la tête).

39) Une Rosette en Postillon peut se trouver fixée sur le Papillon ce sont des boucles de tissu de décoration.
Rosette veut dire (….ornement circulaire, forme une boucle, on en parle dés 1298).

40) Texte, (….Dans la nuque les cheveux sont relevés droit pour donner un chignon retenu par un peigne au sommet de la tête).

41) Des cotés de la nuque une ou deux longues mèches bouclées en tire bouchons tombe sur les épaules et la poitrine, on les appelle des dragonnes.

42) Les Boucles du cou ne sont admises qu’à la Cour
et prennent le nom de Sentiments.

43) Vers 1775, la parure officielle à la cour et d’avoir comme ornement dans la coiffure, sur le sommet de la tête au minimum trois plumes d’autruche légèrement a l’arrière, des fleurs, et des boucles opulentes.

44) Vers 1779, certaines coiffures très hautes sont de face, vers le sommet du gonflant ouverte au milieu, ce qui donne l’aspect de deux grosses bosses l’une a coté de l’autre.
Sur ce type de coiffure le chapeau a comme forme deux gonflements qui épousent les formes de la coiffure.

45) Sur la coiffure cheveux la femme pose souvent un chapeau de grande taille couvert d’ornements, ce qui demande d’avoir un sommet de tête ferme et solide
pour supporter le poids du chapeau et des ornements.

46) Les coiffures sont poudrées (voir accommodage).

47) ( Les marteaux nommés, attention, s’élèvent en grossissant jusqu’au sommet du tapé, séparés d’un doigt l’un de l’autre)

48) Les élégantes et leurs échafaudages capillaires a la Brigantine.

49) Texte de l’époque vers 1779,(… depuis que les femmes se sont avisées de se servir de fers pour soutenir la pyramide de leur coiffure qui est une espèce de bâtiments a plusieurs étages elles ont tellement enchéri sur cette mode qu’il n’y a plus de porte assez élevée pour leur donner passage sans baisser la tête, elle aiment avoir le visage reluisant de pommade et caché sous le rouge et le blanc, elles y ont employée la moitie de la journée, elles se plaignent de la négligence ou du peu d’habileté de leurs femmes de chambre ).

50) Texte de 1783, le Comte de Vaublanc décrit avec minutie la mode du jour qu’il trouve ridicule (….nos élégantes montrent des cheveux bien crêpés, bien roides bien graissés, et bien poudrés, que renforcent de grosses boucles roides, grasses, et poudrées, qui salissent le cou des belles Appuyées sur ces bastions de grandes épingles s’élèvent et soutiennent un coussin de taffetas noir.
A sont tour le coussin grâce a des dizaines d’autres broches, supporte des fleurs, des rubans, des fausses nattes et des boudins en cheveux
Derrière, d’autres cheveux se nouent en un chignon énorme qui fait peur à tous les meubles.
Entre le coussin et ces cheveux on forme habituellement de grandes cocardes de crêpes ou de taffetas.
Les longues épingles nécessaires pour étager ces hautes fabriques de cheveux semble dangereuses, toute cette ferraille ne va-t-elle pas les jours d’orage attirer la foudre).

51) Texte de l’époque, (…pour tenir salon madame change de coiffure, plus exubérante, plus en hauteur, qu’elle charge d’accessoires variées élément essentiel de la coiffure, le panache de plumes, soit trois plumes plantées derrière le chignon avec des fleurs et des rubans.
Pour le souper madame se consacre a son élégante coiffure, nuque dégagée allongeant ainsi la tête tandis que de multiples boucles sont formes en tire bouchons s’étageant sur les côtes, quand ces dernières tombent sur les épaules on les appellent des Dragonnes la masse des boucles est contrebalancée par un bouquet de fleurs séparée par un rang de perles, une natte pend derrière l’oreille et remonte en torsade, elle part d’un nœud de ruban attachant le bouquet, le chignon est relevé droit et le peigne a chignon le fixe au sommet de la tête, dissimulée par les boucles formées de l’extrémité des cheveux frisés, le peigne est fixé au dessus du lien).

52) Texte de1786, le marquis de Valfort (…les dames se coiffent très haut, les toupets en avant et les cheveux coupés en vergette, le point que le toupet fait sur le front s’appelle physionomie, les boucles qui accompagnent le toupet sont très grosses et séparées de celles du bas qui doivent être pendantes, on les appelle attention marquées).

53) Les coiffures cheveux sont le plus souvent couvertes d’un chapeau c’est le règne des Chapeaux Fous, hauts imposants larges, lourds, surchargés de plumes, de fleurs, de perles, de rubans, des pierreries, d’étoffes chiffonnées, de fruits etc.

54) Il ne faut pas croire que les coiffures ont tout d’un coup pris un volume excessif, elles gonflèrent par degrés, il y a eu de faibles commencement sous Louis XV vers 1750, puis régulièrement elles montèrent pour s’arrêter a 30, 40 pouces au dessus de la tête, elles furent les plus hautes vers 1779.

55) Un pied est composé de 12 pouces, un pouce c’est 0,324 mètres, une coiffure de 30 à 40 pouces est donc haute de 10 à 13 centimètres.

56) Vers 1772, Il a été cité la coiffure appelée en Loge d’Opéra qui était haute de 72 pouces soit 23 centimètres.

55) Au dire de l’époque, (…le caractère commun des coiffures cheveux féminines est l’abondance du volume de la chevelure, les coiffures sont très volumineuses, ce genre de coiffures ne demande pas de légèreté, les coiffures sont tellement disproportionnées, c’était des horreurs).

57) Texte, (…aucune tête humaine n’est en mesure de se coiffer à la mode avec ses seuls cheveux, force est de recourir aux postiches, aux mèches additionnelles proposées par les perruquiers).

58) (… aucune élégantes renoncerait aux désagréments de ces coiffures cheveux, mieux vaut endurer les démangeaisons, qu’elle calme en se servant d’un grattoir longue tige terminée par un crochet, qu’elle en use d’autant plus volontiers qu’il est contraire aux règles de la civilité de se toucher les cheveux).

59) Les coiffures hautes obligeaient les femmes à garder la tête raide et à adopter une posture guindée.

60) Description d’une coiffure relatée a l’époque, ( elle est frisée en sentiments soutenus avec un bonnet de conquête assurée, garni de plumes volages et de rubans d’œil abattu.).

61) Les Marrons, les Brisures, les Béquilles sont des boucles diversement posées, ainsi que les Favoris qui dessinent des croissants sur le front

62) La mèche a droite où a gauche et la dénomination change aussitôt.

La Coiffure Cheveux 2ème tendance après 1780

63) vers 1780, la Reine Marie Antoinette perd une partie de ses cheveux à la suite de couche et c’est le début de la coiffure plus basse et large, un peu moins empesée et le retour d’une certaine sagesse qui devient à la mode.

64) Début de la coiffure à l’Enfant, c’est une coiffure avec des cheveux plus courts sur le sommet de la tête, ils sont coupés sous les oreilles et les caches, et longs dans la nuque.

65) La partie avant plus courte oblige à diminuer la hauteur de la coiffure, elle est donc moins haute mais elle devient plus large, la partie frontale est souvent coiffée sur un coté.

66) La coiffure plus plate prend aussi un aspect différent de celles de la première période.

67) La partie avant et le sommet de tête de certaines chevelures ne sont pas bouclées ni vaguées mais gaufrées, crêpelées. La mise en forme est réalisée soit en fine mèche vrillée ou en fine tresse enroulée en papillote, chauffée, déroulée, la mèche donne un aspect créolé, mousseux, très frisée, la chevelure devient large et vaporeuse.

68) La chute des cheveux a modifiée la masse du sommet de la tête mais pas de la nuque ou la, les cheveux sont restés les mêmes. Ce qui donne dans la coiffure une opposition d’aspect entre les cheveux du sommet de tête et des cotés qui sont crêpelés et ceux de la nuque qui sont raides et lisses.

69) Dans la partie arrière de grosses boucles savamment disposées dans des sens différents donne à l’ensemble un aspect négligé et élégant.

70) Dans certaines coiffures les cheveux sont coupés en Vergette, Vergette veut dire (brosse), les cheveux sont coupés court sur le sommet de la tête.

71) La poudre s’applique avec moins d’épaisseur.

72) Mais on continue à voir des coiffures volumineuses, c’est le domaine réservé à certaines jeunes et vieilles femmes.

73) Cette période voit le règne des Chapeaux sages, larges avec moins d’ornements qu’au début du règne.

74) Certaines coiffures sont est dites à l’Anglomanie, car la mode venait de plus en plus d’Angleterre.

75) Coiffure a l’Indépendance ou le triomphe de la liberté.

76) Avant 1789, une publicité sur le journal des dames et des modes, édité a Paris chez Crepy, rue Saint Jacques a Paris permettait de voir un jeu constitué de cases dans lesquelles apparaît une coiffure ainsi que son nom, nous voyons,
(..le bonnet a la paisanne, a la glaneuse, rond a la finette, aux clochettes, a la moresque, en cascade, le chapeau de la nouvelle Angleterre, a l’irlandais, tigre, a la prussienne, en coquille, a l’anglaise, a la corse, au bonheur du siècle, la therese, la couturière, la nouvelle paisanne, la diligente, la nouvelle baigneuse, la débâcle, l’italienne, la pétulante, la dame en néglige du matin, la nonchalante, l’agréable, la brillante, la sémillante, le parterre galant, le berceau d’amour, la lévite, la couronne de fleurs, coeffure a la grenade, la jeune amazone, la sévère, l’exigeante, la courageuse lilustrasienne ou la Jeanne d’arc, la sage, la prétention, le désir de plaire, la discrète, la créole, la toque galante, la dauphine, l’assyrienne , la levantine, la coeffure orientale, la misterieuse, le cornet d’abondance, la belle poule).
Il a été acquis par le Musée de la coiffure de Barcelone.

77) Les coiffeurs de l’époque sont intéressés à changer et à exagérer les modes, ils y trouvent un intérêt.

78) Le Pouf et le Toupet (…après les poufs vinrent les toupets en Hérisson les cheveux étaient relèves sur le devant, frisés a la pointe ils s’étageaient par derrière en plusieurs rangs de boucles colossales et se relevaient sur le devant au moyen d’épingles immenses en une touffe très haute et très épaisse).

79) Les épingles à cheveux étaient très longues.

80) D’après Madame Campan secrétaire de Marie Antoinette (.pendant la période champêtre les diamants les plumes, le rouge, les étoffes brodées lamées d’or faisait disparaître la moindre apparence d’un séjour champêtre).

81) En 1775, le comte d Artois lance la mode des cheveux poudré couleur blond cendré.

82) Vers 1779 la Reine mit a la mode les chapeaux de paille ce qui était très insolite et qu’elle portait au Hameau de la Reine, elle était habillée de blanc.

83) La reine était habillée d’une lévite en mousseline avec une ceinture bleue ses cheveux relevés avec un simple ruban sans rouge et sans diamant).

84) En 1781 Mademoiselle de Châtillon épouse le Prince de Tarente d’Avenel, les tarifs pratiqués pour la coiffure sont, (… le prix de la coiffure de présentation 72 livres, de la coiffure de mariage est de 48 livres, du lendemain 24 livres, des jours suivants 6 livres).

85) À la veille de la révolution on préfère se coiffer à la Conseillère qui était une coiffure avec les cheveux flottants.